#----------------------------------PLEASE NOTE--------------------------------# #This file is the author's own work and represents their interpretation of the# #song. You may only use this file for private study, scholarship, or research.# #-----------------------------------------------------------------------------# From: "O?o? Oo Froggy ? o O o ?" Subject: c/cabrel_francis/les_passantes.crd Date: Mon, 8 Jun 1998 22:15:45 +0200 LES PASSANTES Transcripted by maunakea@wanadoo.fr NEW SONGS @ http://perso.wanadoo.fr/froggy/ Used chords : Am : X0221X F (133211@1) : 13321X Esus4 : 0222XX E (022100@1) : 0221XX D (xx0232@1) : XX023X G (320003@1) : 32003X Amsus2: X0220X C (x32010@1) : X3201X Am (x02210@1)F (133211@1) Esus4 (022200@1)EJe (022100@1)veux dedier ce poeme, Am(Amsus2) (x02210@1) Dma (xx0231@1)toutes les femmes qu'on aime, Am (x02210@1) G (320003@1) C (x32010@1) EPendant (022100@1)quelques instants secrets, F (133211@1) Esus4 (022200@1)Ea (022100@1)celles qu'on conna?t a peine, Am (x02210@1) DmQu'un (xx0231@1)destin different entra?ne, Am (x02210@1)G (320003@1) AmEt (x02210@1)qu'on ne retrouve jamais. a celles qu'on voit appara?tre, Une seconde, a sa fenetre, Et qui, presque, s'evanouit, Mais dont la svelte silhouette Est si gracieuse et fluette Qu'on en demeure epanoui. a la compagne de voyage, Dont les yeux, charmant paysage, Font para?tre court le chemin; Qu'on est seul peut-etre a comprendre, Et qu'on laisse pourtant descendre Sans avoir effleure sa main. a celles qui sont deja prises, Et qui, vavant des heures grises, Pres d'un etre trop different, Vous ont, inutile folie, Laisse voir la melancolie D'un avenir desesperant. Cheres images apercues, Esperances d'un jour decues, Vous serez dans l'oubli demain; Pour peu que le bonheur survienne, Il est rare qu'on se souvienne, Des episodes du chemin. Mais si l'on a manque sa vie, On songe, avec un peu d'envie a tous ces bonheurs entrevus, Aux baisers qu'on n'osa pas perndre, Aux coeurs qui doivent vous attendre, Aux yeux qu'on n'a jamais revus. Alors, aux soirs de lassitude, Tout en peuplant sa solitude Des fant?mes du souvenir, On pleure les levres absentes De toutes ces belles passantes Que l'on a n'a pas su retenir.